Il y a souvent des idées incroyables dans l'anime qui semblent impossibles ailleurs, mais il y a aussi une abondance de genres divers qui donnent encore plus de liberté au médium. Les sommets que l'anime est capable d'atteindre en tant que support de narration continuent de repousser les limites et d'établir de nouvelles normes.
est bon
En même temps, c'est aussi très amusant quand l'anime peut fonctionner comme un moyen de se détendre et de se laisser bercer dans un état d'aisance plutôt qu'un récit hallucinant qui est plein de rebondissements éprouvants . Il n'y a pas de mauvaise façon de regarder l'anime, mais certaines séries sont idéales pour ceux qui ne veulent pas être mis au défi et qui veulent juste s'amuser.
dix Osomatsu-San est une parodie imprévisible à son plus ridicule
Certes, tout anime gag qui donne la priorité aux rires absurdes par rapport à la narration linéaire est une série qui bénéficie d'un cerveau éteint et d'un esprit ouvert. Osomatsu-san est la mise à jour moderne satirique de l'inoffensif Osomatsu-kun anime des années 60 et 80. Osomatsu suit les sextuplés Matsuno, des frères et sœurs fainéants qui sont coincés dans des états perpétuels de développement arrêté.
On ne sait pas ce qu'il y a au menu Osomatsu, qu'il s'agisse d'une histoire de passage à l'âge adulte sur la responsabilité ou d'une large parodie de genre du Gundam la franchise. Rien n'est sacré dans Osomatsu-san, c'est pourquoi c'est la comédie parfaite pour se déconnecter et la laisser submerger le public.
9 Excel Saga se moque de tous les genres d'anime du livre
La saga Excel arrive juste au moment où les années 1990 passent aux années 2000 et la comédie surréaliste est la distillation idéale des changements ambitieux qui nous attendaient. Il y a un simple complot pour la domination de la ville (le premier pas vers la domination du monde), mais le véritable attrait de La saga Excel C'est ainsi que chaque épisode se transforme sans crainte en un genre d'anime différent.
Cette approche fluide aide La saga Excel se moquer des agrafes du médium à un rythme implacable. Le style et la rapidité de La saga Excel peut sembler un peu écrasant et il est donc préférable de simplement profiter de l'anime et de ne pas remettre en question ses décisions étranges.
8 Bobobo-Bo Bo-Bobo est une célébration sans fin de la bêtise
Il y a une alchimie naturelle entre la série shonen et l'anime comique , mais Bobobo-bo Bo-bobo est essentiellement une lettre d'amour au non-sens et il est fier de ses sensibilités décalées. Hajike, l'art du ridicule, est le principe fondamental de bobobo et il n'y a jamais un moment où la série laisse le public l'oublier.
pourquoi hatsune miku est-il si populaire
Le personnage titulaire utilise des poils de nez renforcés pour combattre un mal basé sur les follicules, qui est le détail le moins étrange de la série. bobobo réussit comme une parodie de la série battle shonen, mais il établit également un univers riche de blagues courantes qui n'auront de sens que pour les autres passionnés.
sept Il est facile de se perdre dans les tenues rehaussées et les enjeux surréalistes de Kill La Kill
La tragédie familiale shakespearienne alimente l'action dans Tue la tue , mais c'est aussi une série où des héroïnes légèrement vêtues brandissent des ciseaux géants et des vêtements parlants dans des démonstrations de combat sanctionnées. Il y a une histoire de substance dans Tue La Tue, mais il est parfois difficile de regarder au-delà de toutes les bouffonneries extrêmes de Life Fiber et des conceptions de personnages et de costumes conviviaux pour les fans.
Il y a un niveau d'excès intentionnel qui Tue la tue fête et c'est un mélange bizarre d'inspirations qui fonctionnent malgré eux.
6 Le Ping Pong Club est un humour obscène et adorable qui ne fait pas trop d'efforts
Le club de ping-pong est un anime des années 1990 qui offre 52 tranches d'humour hormonal débauché sur 26 épisodes. Club de ping-pong , dans une certaine mesure, fonctionne comme la réponse du Japon à Parc du Sud alors que les jeunes personnages se perdent sans cesse dans un contenu brut et des situations étranges.
Club de ping-pong consiste à se moquer de ses éternels outsiders et à quel point ils sont déconnectés de quiconque ne fait pas partie de leur troublante clique. Club de ping-pong est un fruit à portée de main, mais il reste incroyablement divertissant pour ceux qui l'abordent avec des attentes réalistes.
5 Urusei Yatsura invente ses propres règles avec ses aventures d'invasion extraterrestre
Rumiko Takahashi est un mangaka prolifique qui est responsable de séries comme Ranma ½ et InuYasha , dont chacun n'est pas étranger à la comédie et au surréalisme, mais aucun ne peut rivaliser avec Urusei Yatsura . L'humble anime mélange la bêtise d'une tranche de vie avec des bouffonneries extraterrestres exagérées.
pause biscotti impérial jumeau maléfique
La race extraterrestre Oni de Lum est pleine de surprises et même les philosophies plus théologiques de l'anime que les derniers épisodes explorent sont un voyage unique. Avec un redémarrage moderne de la série emblématique sur le chemin de David Production, il n'y a jamais eu de meilleur moment pour revisiter le classique absurde des années 80.
4 Dragon Ball Z est une malbouffe animée qui descend facilement
Akira Toriyama Dragon Ball Z est indéniablement l'une des séries animées les plus populaires de tous les temps et une série passerelle pour de nombreux publics au cours des années 1990. Il y a près de 300 épisodes de combats chaotiques répartis à travers Dragon Ball Z ’s run, qui équivaut à un contenu idéal pour s’évader.
Dragon Ball Z atteint de véritables moments de catharsis émotionnelle pour ses personnages, mais il y a des dizaines d'épisodes qui se concentrent exclusivement sur les batailles et des transformations accrues. Dragon Ball Z est un anime d'action divertissant, mais ce n'est pas du grand art, et regarder la série avec des attentes moindres et un cerveau éteint est la voie à suivre.
3 Uzaki-Chan veut traîner est une bêtise sublime pour ceux qui ne creusent pas trop profondément
Toutes les séries animées n'ont pas besoin de réinventer la roue et Uzaki-chan veut sortir ! est un exemple sublime de la façon dont moins peut être plus et que rien ne peut battre des personnages amusants et une écriture intelligente. Uzaki devient obsédé par Shinichi Sakurai, un introverti qui décide d'avoir un large éventail d'amis.
D'humbles malentendus font avancer la plupart des comédies et des romances sérieuses dans Uzaki-chan . L'anime est bien conscient que c'est un plaisir coupable dans une certaine mesure et que son matériel fonctionne mieux lorsqu'un esprit trop critique est éteint.
deux Gintama est plus de 300 épisodes de bouffonneries d'action-comédie hilarantes
Gintama est le exemple extrêmement rare d'une longue série shonen cela s'avère plus de 350 épisodes, plus trois longs métrages, et il n'y a pas de baisse perceptible de la qualité. Si quoi que ce soit, Gintama s'améliore activement et trouve un équilibre magistral pour les arcs d'histoire sérieux et les formes de comédie les plus ridicules.
stout de café de chien volant
Il y a un canon pour Gintama c'est respecté, ainsi que des relations et des décès qui ont de véritables enjeux, mais les méta-sensibilités conscientes de la série ne ressemblent vraiment à rien d'autre. La comédie dans Gintama n'a rien de sacré, mais les épisodes se dérouleront également sous forme de storyboards, d'animations MS Paint ou de photographies de mannequins.
1 Pop Team Epic se moque de l'anime, de la narration et même de son public
S'il y a un anime qui troll activement son public, c'est Épopée de l'équipe pop et la meilleure approche pour tout troll est de ne pas s'engager. Épopée de l'équipe pop livre Comédie à sketches délirante de la taille d'une bouchée où rien n'est interdit. Il y a une qualité chaotique qui se traduit par des histoires étranges, des parodies de genre et des célébrations de médias mixtes qui défient continuellement la perception du public de ce qui est qualifié d'anime.
Chaque épisode est même structuré de manière à ce que toute l'entrée se répète, mais avec des modifications mineures apportées la deuxième fois, comme changer les acteurs de la voix.
