La conjuration : le diable m'a fait le faire rend un hommage direct à L'Exorciste à de nombreuses reprises. Étant donné l'inspiration du classique de l'horreur, le troisième Prestidigitation la sortie ne fait pas que respecter l'intrigue du film de 1973; il reflète également le plan le plus célèbre du film.
pseudo-sue abv
Depuis sa conception en 2013, le Prestidigitation la franchise n'est pas étrangère à la notion de possession démoniaque. Compte tenu du volume de contenu, ce n'était qu'une question de temps avant que la série ne salue le grand-père de tous les films liés à l'exorcisme. Le diable me l'a fait faire marque le huitième chapitre de la franchise , mais seulement la troisième entrée pour les enquêteurs paranormaux Ed et Lorraine Warren, sans compter leur brève apparition dans Annabelle rentre à la maison . Cela dit, étant donné l'histoire des Warrens avec les démons, La Conjuration 3 se sent comme le bon film pour justifier un hommage à L'Exorciste le cadre le plus emblématique de.
Le plan classique du chef-d'œuvre d'horreur de William Friedkin vient juste avant le troisième acte du film lorsque le père Marrin – «le vieux prêtre», tel que décrit par Max von Sydow – est appelé pour superviser la jeune Regan, alors qu'elle est tourmentée hôte démoniaque. La partition pour piano mémorable – « Tubular Bells » de Mike Oldfield – commence juste avant qu'un taxi ne s'arrête à la maison MacNeil. Dehors une silhouette sombre dans un feutre, tenant une mallette, éclairée uniquement par la lumière d'un réverbère hurlant au-dessus. L'image obsédante est devenue l'affiche du film. Il a été reconnu comme l'une des images visuelles les plus exemplaires de tout le cinéma d'horreur.
Owen Roizman, L'Exorciste le directeur de la photographie de, tourné le célèbre moment comme un clin d'œil à l'artiste belge énigmatique René Magritte, en particulier sa peinture de 1949, L’empire des lumières . Le titre se traduit par « The Dominion of Light », dans lequel une maison faiblement éclairée plane au-dessus d'un lampadaire solitaire, s'illuminant tout en étant plongée dans l'obscurité. La peinture est étrange mais enchanteresse, inspirant son auteur surréaliste à recréer le dessin dix-sept fois de plus. Certaines itérations comportent même l'ombre d'un homme au chapeau melon. Compte tenu non seulement de l'atmosphère maussade mais avec le titre de la pièce seul, la peinture de Magritte est une digne inspiration pour cela Exorciste tirer.
Ces références bouclent la boucle avec une scène du début de La conjuration : le diable m'a fait le faire . Avec Michael Chaves maintenant dans le fauteuil du réalisateur, le troisième chapitre des Warrens présente leur dernière rencontre surnaturelle sous la forme d'un garçon de huit ans sous possession démoniaque – ouvrant la porte à Ed et Lorraine pour intervenir auprès du diable. Avant qu'ils ne puissent arriver sur les lieux, cependant, un homme mystérieux apparaît à l'extérieur de la maison des garçons la nuit, debout sous une lumière tamisée tout en portant un chapeau et une mallette familiers. L'hommage effrayant a été rendu une fois de plus, et dans l'un de leurs cas les plus effrayants à ce jour. Le troisième Prestidigitation le film se sent comme un excellent endroit pour un Exorciste référence.
Réalisé par Michael Chaves, The Conjuring: The Devil Made Me Do It met en vedette Patrick Wilson, Vera Farmiga, Ruairi O'Connor, Sarah Catherine Hook et Julian Hilliard. Il joue actuellement dans les salles et en streaming sur HBO Max.
